Publié par Dominique Bidou le . Publié dans Editos 2016
La pollution tue bien plus que le terrorisme. Nous ne sommes pas dans les mêmes ordres de grandeur, quelques dizaines d'un côté, et quelques millions de l'autre. Des morts dramatiques dans les deux cas, évidemment injustes et insupportables. Les lois de la communication sont telles que le terrorisme emporte largement la palme à la Une des grands organes de presse.
Publié par Dominique Bidou le . Publié dans Editos 2016
L'idée semble progresser, que les impôts sont la contre partie de services rendus, avec une attente de proportionnalité, alors qu'ils sont la contribution de chacun aux services publics en fonction de ses moyens. S'il y a proportionnalité, c'est avec les revenus des contribuables, et non les services dont ils bénéficient. Cela n'empêche nullement la rigueur dans la gestion de l'argent public, bien au contraire.
Publié par Dominique Bidou le . Publié dans Editos 2016
La circulation alternée a révélé l'impréparation de notre société face à un évènement climatique contraignant. Depuis le temps qu'il en est question, et la première expérience du genre en France, il y a une vingtaime d'années, c'est toujours la surprise et l'incompréhension. Aucun plan B pour la mobilité, aucune altenative à l'emploi de sa propre voiture.
Publié par Dominique Bidou le . Publié dans Editos 2016
La circulation alternée mise ne place à Paris pour faire face au pic de pollution de l'air offre l'occasion de revenir sur le coût de l'environnement. La gratuité des transports publics est évaluée, selon les medias, à 4 M€ par jour. Une somme payée par les collectivités publiques, donc par nos impôts. Voilà qui semble très cher, et on s'interroge sur tout ce que l'on aurait pu faire avec cet argent, ou sur les baisses d'impôt que ce chiffre suggère.
Publié par Dominique Bidou le . Publié dans Editos 2016
La modernité est souvent revendiquée par les politiques, notamment les candidats à la "primaires de la droite et du centre". Poursuivons le propos de l'édito de la semaine dernière sur le nombre de fonctionnaires. Un débat purement comptable, où la nature du travail accompli n'apparaît guère, ni le périmètre du secteur public, tout juste évoqué. Un autre grand absent de ce débat était le management.